Il y a plus de risque de faire une forme grave de palu, que de faire une réaction grave à un médicament.

Certes bien que ce ne soit pas quantifié, mais je ne pensais pas à cela.
Juste comme ça, mais même sous traitement ça n'empêche pas de le chopper, ma soeur et mon père lorsque nous habitions en Centrafrique l'ont eu (mon père a été bien secoué), alors que nous prenions notre cacheton de nivaquine tous les jours.
Je pensais surtout à l'efficacité du traitement chez un individu ayant attrapé le palu et étant sous traitement préventif, et chez un autre sans traitement préventif (j'en ai discuté avec plusieurs médecins).
Cependant ne pas le prendre est un choix, et quand on part sur des périodes courtes c'est jouable, puisque la période d'incubation est d'une quinzaine de jours me semble-t-il voir un poil plus, donc nous sommes sensés être rentrés à la maison avec des hôpitaux "performants" et qui sont capable de prendre ça à bras le corps (encore faut-il ne pas avoir un foie en compote auparavant).
En revanche si on habite dans un pays où les soins sont assez, comment dire... Peu fiables... Alors dans ce cas, oui le traitement anti paludéun n'est pas du luxe.
Mais bon on est hors sujet là
