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Auteur Fil de discussion: Du Kilimandjaro à Zanzibar (en passant par la Belgique ...)  (Lu 33998 fois)
Jonathan
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« Répondre #75 le: 17 Novembre 2008 à 22:31:58 »

La visite terminé Chinook qui ne s’était pas encore beaucoup reposé depuis notre arrivé me proposa de retourner à notre hôtel et de profiter de la fin de l’après midi pour prendre un bain et se reposer.
Aussitôt dit, aussitôt fait et après nous être changé (et avoir au passage couper à nouveau la climatisation de la chambre car il devait faire au moins -10° dans ce frigo) on s’est retrouvé sur des relax face à l’océan.
On se dirigea vers la piscine encore en partie au soleil pour prendre un petit bain.
Après quelques tours de brasses, Chinook repéra un jeune couple belge en voyage de noce que l’on avait rencontré le matin au petit déjeuné.
Comme elle avait quelques questions à leur poser on se dirigea vers eux et la conversation débuta.
Ils étaient sur le bord de la piscine tandis que nous étions dans l’eau.
C’est à ce moment là que l’on apprit avec stupéfaction qu’ils n’étaient pas au courant qu’il n’y avait plus de courant électrique sur l’île depuis déjà quelques semaines.
Ce qui devait également être le cas pour la grande majorité des occupants de ce complexe.
En effet entre le cloisonnement de l’hôtel, les générateurs électriques tournant 24h/24h et la quasi ‘interdiction’ de sortir du complexe en dehors des excursions organisés par l’hôtel, les gens n’avaient connaissance que de ce qu’on voulait bien qu’il sache.
Mais pour beaucoup cela ne les gênait pas spécialement, on venait directement les chercher à l’aéroport, ils arrivaient ici avec tout le confort occidental et repartait directement de l’hôtel pour l’aéroport.
C’est peut-être un petit peu caricatural mais je suis sûr que pour nombre d’entre eux leur connaissance de Zanzibar s’arrêtait ici.
Ce qui était fort regrettable.
Et pour ce qui était de l’électricité, quelle gaspillage ! Ca n’aurait pas couté grand-chose quand même d’annoncer aux gens la situation de l’île et de leur demander (à eux et aux personnels) de ne pas activer la climatisation pendant la journée s’ils restent sur la plage ou au bord de la piscine par exemple.
Enfin bon notre jeune couple semblait un peu plus ouvert et demanda à Chinook quelques tuyaux pour visiter le coin sans passer par les services de l’hôtel.
La conversation dura un peu et pour moi c’était le bain de trop de la journée.
J’avais froid et c’est à partir de ce moment là que j’ai commencé à me sentir de moins en moins bien au fil des jours.

Retour dans nos chambres respectives pour prendre une douche (encore de l’eau ! C’était ma journée poisson Clin d'oeil) et nous préparer pour le diner.
Au préalable on était incité au cocktail de bienvenu (la veille on était arrivé trop tard).
Grosse déception pour moi pour le diner, ce soir là il s’agissait d’un immense self service avec des cuisines des différentes régions du globe et je dois avouer que je n’ai rien trouvé de spécialement fameux
Ca n’était pas du niveau de la veille.
Pendant le repas une des serveuses fut surprise que je la remerciais en swahili et tout de suite elle engagea la conversation pour savoir si je savais dire autre chose.
Je lui ai alors sorti quelques mots que je connaissais et elle semblait enchantée.
Ca fait plaisir de voir que finalement ce petit intérêt pour leur langue les rende joyeux.
Après le repas, on resta discuter un petit peu à table.
Chinook semblait en pleine forme mais pour ma part je luttais pour ne pas m’écrouler de fatigue Marteau.
Ce qui ne m’a pas empêché de prendre un dernier verre de notre ‘champagne’ avant d’aller se coucher.
Demain matin comme on n’avait rien de prévu on pouvait se lever plus tard (enfin une grasse mat. Souriant).
Je crois que je suis rentré dans ma chambre, je me suis changé (au passage j’ai re désactiver la climatisation) et je me suis écroulé dans le lit … ah non ! J’ai du encore luter quelques minutes pour écrire le carnet de la journée.
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« Répondre #76 le: 18 Novembre 2008 à 09:54:02 »

Plonger à Zanzibar... ça le fait  Yes tu as du en prendre plein les yeux!
Dommage qu'il n'y ait pas de photos, j'aurais bien plongé par procuration avec toi
(petite astuce pour éviter de remonter même lorsque ton gilet est vide... vider les poumons  Clin d'oeil ça marche très bien et ça évite de se trimbaler avec trop de leste)
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« Répondre #77 le: 18 Novembre 2008 à 12:09:40 »

Avec la grisaille du jour, la pluie et le brouillard, c'est un vrai plaisir que de te suivre à Zanzibar. J'aime
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"La vie de safari a quelque chose qui vous fait oublier tous les chagrins de la vie et vous donne 24h sur 24, l'impression de boire du champagne.
On est pénétré de la reconnaissance la plus profonde pour le fait de vivre"
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« Répondre #78 le: 24 Novembre 2008 à 23:42:59 »

Plonger à Zanzibar... ça le fait  Yes tu as du en prendre plein les yeux!
C'est clair, pour ceux que ça tente, il ne faut vraiment pas hésiter J'aime.

(petite astuce pour éviter de remonter même lorsque ton gilet est vide... vider les poumons  Clin d'oeil ça marche très bien et ça évite de se trimbaler avec trop de leste)
Merci du conseil mais je l'avais déjà expérimenté dès mon premier baptême à la Réunion où le moniteur ne règle pas toujours le gilet de façon adéquate.
C'est clair que ça marche plutôt bien.
Mais pour revenir à mon cas à Zanzibar, ça ne suffisait pas (à moins peut-être de vider ses poumons et de ne plus respirer du tout Tire la langue).
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« Répondre #79 le: 24 Novembre 2008 à 23:46:57 »

Enfin une nuit bien reposante !
Ca faisait du bien.
J’avais tout de même prévu de me lever avec un quart d’heure de plus d’avance afin d’être vraiment prêt à l’heure convenue pour ne pas faire attendre Chinook.
Je me prépare donc  et sort de ma chambre.
Comme les précédents jours le ciel était encombré de gros nuages même si le soleil perçait.
Pas de Chinook à ma porte … ouf ce matin elle ne m’attendra pas Clin d'oeil.
Je me dirige vers sa porte d’entrée et elle n’y ait pas non plus.
Comme j’avais quelques minutes d’avances j’ai attendu un peu.
Au bout de plusieurs minutes après l’heure prévue, je me suis permis de frapper à sa porte.
J’entendis alors un peu de bruit et puis sa voix qui sur un ton un peu bousculé me dit qu’elle s’était rendormi et qu’elle arrivait Rire.
S’étant levée trop de bonheur elle avait finalement finie par se rendormir.
Quelques instants après elle sortit et on prit la direction de la salle de restauration pour le petit déjeuné.
Ce matin on s’installa sur les table en bordure de la terrasse avec vue sur les jardins, la piscine et le soleil pas très loin.
De manière analogue à la veille on se régala de notre petit déjeuner aux crêpes même si j’ai été un peu plus raisonnable cette fois ci.

Chinook avait ensuite rendez-vous avec le gérant pour une visite du complexe.
Pendant ce temps je suis allé boucler mes sacs et faire quelques clichés des bougainvilliers, frangipaniers et autres ornant les jardins.


287. Fleurs de frangipaniers


288. La salle de restauration où l'on prenait le petit déjeuné le matin.


289. Vue de l'extérieur


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« Répondre #80 le: 24 Novembre 2008 à 23:50:42 »

J’ai essayé de trouver en vain la boutique de l’hôtel pour voir si quelque chose m’intéresserait, même si je me doutais que les tarifs risquaient d’être à la hauteur du niveau des prestations de l’hôtel.
Lorsque Chinook eu terminé, j’ai demandé au gérant (celui qui s’était fendu d’excuses lors de notre arrivée) où était la boutique.
Il me répondit qu’elle n’ouvrait pas avant seize normalement mais comme on partait dans la mâtinée il me proposa de me la faire ouvrir exceptionnellement sans que je n’eu rien à demandé moi-même (faudrait pas fâcher un client à son arrivée et à son départ Tire la langue).
Le voilà donc parti chercher une femme blanche au visage pas souriante du tout pour m’ouvrir la boutique.
En fait je cherchais des animaux sculptés en malachite (mais mieux sculpté que ceux que l’on peut généralement trouver sur les marchés).
Et me voilà parti avec cette bonne femme dans un endroit pas du tout évident d’accès (bizarre pour une boutique).
La surface d’exposition était assez grande je commençais donc à faire mon tour, seul dans la boutique, tandis que la bonne femme m’attendait au comptoir de la caisse.
Malheureusement, sans même prendre en compte les prix, absolument rien ne m’intéressait.
Pris de remords de l’avoir fait déranger pour rien, j’ai pris deux cartes postales histoires de ne pas repartir sans rien.
Je lui tendis un billet de us$10.00 et elle me demanda alors si je n’avais pas la monnaie.
Comme ce n’était pas le cas et que la caisse était fermée elle me dit alors d’un ton assez exaspéré que c’était bon que je pouvais y aller (c’était gratuit).
J’avoue que j’avais un peu honte pour le coup mais je n’aimais guère son humeur.
Je suis donc parti rejoindre Chinook avec mes deux cartes et après avoir récupéré mon billet.

On quitta alors pour de bon notre hôtel pour se diriger vers Jambiani où Chinook souhaitait visiter quelques endroits.
Mais avant ça on devait faire le plein car il ne nous restait plus beaucoup de carburant.
Il nous semblait nous rappeler avoir vu une station essence un peu avant le barrage de police à l’entrée de Paje.
On emprunta donc cette route par laquelle on était arrivée depuis Stown Town mais au bout de plusieurs kilomètres, toujours pas de station essence !
La station serait-t-elle finalement bien plus loin que nous le pensions ?
Finalement Chinook décida de faire demi-tour.
Si on avait plus vidé le réservoir qu’on ne l’avait rempli, ce petit détour nous permis néanmoins de faire une rencontre assez étonnante.
Au beau milieu d’une ligne droite, surgit de nulle par trois dromadaires qui s’accaparèrent rapidement la route.
La surprise fut d’autant plus importante que je ne m’attendais pas du tout à voir des dromadaires ici !!


290. Les dromadaires sur la routes.


291.


292.


293.


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« Répondre #81 le: 24 Novembre 2008 à 23:55:16 »

De retour à notre point de départ on emprunta finalement la route pour allez vers Jambiani, petite bourgade de pêcheurs.
Dans cette partie les hôtels sont moins nombreux sur la côte qu’au nord de Page.
La largeur des plages y est également beaucoup plus réduite.
Après quelques visites on s’arrêta pour le déjeuner dans l’un des hôtels.
Je n’avais pas très faim et j’ai opté pour un plat ‘végétarien’ me disant que ce serait léger.
Mal m’en a pris puisqu’il s’agissait en fait d’un gratin de divers légumes recouvert d’une bonne couche de fromage (le plat bien léger donc Clin d'oeil).
La température était agréable, au calme, l’emplacement bien à l’ombre et même si la vue sur l’océan était complètement bouchée, de nombreuses plantes nous entouraient.
A la fin du repas direction la plage histoire de se dégourdir les jambes et de voir à quoi elle ressemblait par ici.
Une barque de pêcheur était présente, seule devant l’immensité de l’océan.
L’idée de ce cliché maintes fois repris aux quatre coins du globe était trop tentant et j’ai également profité de la présence de Chinook pour me faire photographier avec (merci Chinook).
Un très bel endroit et mon dernier regard sur le lagon de la côte Est.


294. La vue d'une des chambre de l'hôtel où l'on a déjeuné.


295. La barque et moi même face à l'océan.


296.


297. La barque tout seule.

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« Répondre #82 le: 25 Novembre 2008 à 00:13:05 »

En effet notre prochaine étape était Kizimkazi tout au sud de l’île et donnant vers le Sud Ouest.
Après quelques dizaines de minutes de routes et avoir demandé notre chemin à plusieurs intersections tellement les indications étaient nombreuses Roulement d'yeux on arriva sur la côte à notre hôtel tenu par une espagnole assez dynamique et parlant un petit peu le français.
C’était le milieu de l’après midi et le vent soufflait assez fort, expliquant probablement la quasi absence de nuages  à l’horizon.
Les vagues de l’océan assez agitées faisaient le bonheur de plusieurs enfants sur le bord de la plage et sous la surveillance d’un adulte.
Ici la couleur de l’océan était un peu différente,  plus laiteuse mais néanmoins très jolie.
Et au loin le vert turquoise de l’eau passait très rapidement au bleu intense du large.


298. La plage de Kizimkazi avec les enfants en train de jouer dans l'eau.


299.



On prit possession de nos chambres et je découvris non sans curiosité que les douches de chaque bungalow étaient situées en extérieur.
Dans le cadre de vacances je trouve sur le principe cette idée très sympathique.
Tous les bunglows donnaient face à l’océan.
Mais ici pas de plage, mais une mini falaise de roches volcaniques attaquées par l’océan.
Une autre facette des côtes de Zanzibar d’un aspect plus sauvage.



300. La douche extérieure.


301. La vue depuis mon bungalow.



On se retrouva ensuite sur la plage pour un petit bain.
Si le sable paraissait tout à fait semblable à celui que l’on avait pu voir auparavant il s’avérait quelques peu différent lorsque l’on s’y attardait de plus près.
En effet il était mélangé avec quelques grains rouges (probablement du corail) lui donnant un aspect unique en son genre.
Comme l’eau était agité, on avait du mal à voir à travers.
De plus la pente était très douce et nous obligeait à nous écarter assez loin du bord pour avoir un minimum d’eau pour nager.
J’avoue que je n’étais pas très rassuré au départ d’être aussi éloigné du rivage, ce qui n’empêcha pas pour autant le bain d’être très agréable.
De retour sur la plage on alla s’installer sur les transats installés tout le long de ces minis falaises volcaniques et ainsi profiter du soleil de fin d’après midi.
En effet l’inconvénient de la côte Est est que le soleil est rapidement absent en fin d’après midi. Ici plus de problème et on pouvait en profiter jusqu’aux dernier rayons et ainsi admirer le coucher de soleil.
On vint prendre notre commande pour le diner et une fois n’est pas coutume je sortis l’appareil photo pour prendre quelques fleurs, les papayers, les roches volcaniques de la falaise ou encore les crabes.
Si le phénomène des marrées était relativement limité sur la côte Est (du moins là où on était) ce n’étais plus le cas ici.
A vu d’œil on pouvait voir l’eau se retirer peu à peu faisant le bonheur de nombreux crabes en contre bas.


302. Les transats face à l'océan.


303. Un papayer.



304. L'escalier pour descendre sur la plage (à marée basse)


305. Quelques fleurs


306.


307. Les roches volcaniques.


308.


309. Plein de crabes


310.


311.

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« Répondre #83 le: 25 Novembre 2008 à 00:22:06 »

Après avoir assisté au coucher du soleil, on se prépara pour se rendre dans un des hôtels voisin.
L’occasion pour moi de prendre une dernière photo des lueurs du soleil couchant avant que la nuit ne tombe.

312. soleil couchant.


313.


On se dirigea après la visite vers la terrasse du bar face à la piscine éclairée et à coté de la salle de restaurant.
Cette dernière, encore vide de client, était joliment décorée et l’agencement des lumières (en plus de celle de la piscine) donnaient une atmosphère chaleureuse.
Après avoir choisi notre cocktail au bar et attendu je ne sais combien de temps alors qu’on était peu nombreux, on put enfin le savourer sur la terrasse extérieur le tout accompagné de noix de cajou … pimentées (vraiment bien pimentées ;P).
De retour à notre hôtel on prit notre diner et on ne tarda pas à aller se coucher.

Un des attraits de la région de Kizimkasi est la présence d’une colonie de dauphins non loin des côtes.
Donc en fonction de la météo le lendemain matin, c’était une excursion à envisager.


314. La salle de restaurantion.


315. Chinook en train d'hésiter sur quel cocktail prendre Clin d'oeil.
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« Répondre #84 le: 01 Décembre 2008 à 22:03:44 »

Après une bonne nuit de sommeil, ponctuée par de grosses rafales de vents et une averse au petit matin, le réveil se fit en douceur.
J’ai rapidement constaté avec tristesse que le ciel était tout couvert.
Ce matin la marrée était basse et le paysage totalement changé.
On pouvait apercevoir plusieurs personnes (essentiellement des femmes et des enfants) en trains de ramasser des coquillages (je pense)  dans le sable.

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319.



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« Répondre #85 le: 01 Décembre 2008 à 22:06:45 »

Direction la salle de restauration pour le petit déjeuner.
Aux oubliettes les festins matinaux des deux précédents jours, ici on retrouva un petit déjeuner un peu plus classique.
Lorsque l’on vint nous demander si l’on souhaitait des œufs ou autres je ne peu m’empêcher de demander s’il était possible d’avoir des crêpes pour moi et Chinook.
Malheureusement ils n’en avaient pas de prêtes (sous entendu pour moi ‘pas cuite’) mais si je voulais attendre quelques minutes ils pouvaient m’en apporter.
J’acceptai donc.
Un certain temps plus tard pour ne pas dire un temps certains on attendait toujours nos assiettes … Marteau.
En fait ils ne devaient pas avoir non plus la préparation et devaient tout cuisiner.
Heureusement nous n’étions pas pressé et les crêpes lorsqu’elles arrivèrent furent très bonnes.

Retour à nos bungalows afin de  nous préparer.
Le vent soufflait de plus en plus fort et en raison d’une mauvaise expérience de Chinook pour aller voir les dauphins l’année passée par mer agitée (sans rien apercevoir), on préféra annuler l’excursion (sans compter que je n’étais pas au mieux de ma forme).
On s’installa donc sur la petite table extérieure du bungalow à Chinook quelques instants.
Comme j’avais encore de très nombreuses cartes postales à écrire avant le départ je me suis donc lancé à toutes les écrire pendant que Chinook parti à la réception voir la propriétaire.
Si vous êtes du genre à envoyer une carte postale avec un message du type ‘Coucou, un petit bonjour de Tanzanie où je passe de super vacances’, pour part part c’est le contraire, j’ai tendance à vouloir tout raconter et bien souvent il ne reste pas beaucoup de zones blanches Roulement d'yeux.
Une heure plus tard j’avais enfin terminé !
En levant  un peu la tête je constatai avec joie qu’un beau ciel bleu avait fait place aux nuages, le vent les ayant poussés bien au large.
L’occasion donc de faire quelques petites photos et de constater également que la marrée commençait à remonter petit à petit.
La lumière du soleil faisait tout de ressortir les couleurs beaucoup mieux.

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« Répondre #86 le: 01 Décembre 2008 à 22:09:30 »

Je rejoignis ensuite Chinook en train de discuter avec une autre personne rejoint et son compagnon.
Il s’agissait d’un jeune couple de réunionnais qui avaient acheté un 4x4 en Afrique du Sud et étaient venu jusqu’ici en routard après avoir traversé l’Afrique du Sud, la Namibie, le Botswana, le Zimbabwe, la Zambi, le Malawi et la Tanzanie etc. (un voyage d’environ 5 mois !)
Immédiatement mes questions étaient donc très ciblées ‘île de la Réunion’ et ‘retours d’expériences des pays traversés’.
Déjà à ce moment là j’avais retenu qu’ils m’avaient dit voir fait de très jolies photos en Namibie Souriant.
Après la visite de Zanzibar ils ont traversé tout le Mozambique et à nouveau l’Afrique du Sud avant de regagner la Réunion.
Un sacré voyage !
Ils avaient laissé leur véhicule à Dar-es-salaam et avaient loué une mobylette pour leurs déplacements sur l’île.
Ils nous ont alors fait rire car leurs casques étaient complètement fêlés mais entièrement scotchés.
Le loueur leur a dit que ce n’était pas pour la sécurité mais seulement pour les contrôles policiers … ah l’Afrique Rire).
Après plusieurs minutes de discussion on s’échangea nos adresses emails respectives avant de nous séparer.
Tandis que nous nous préparions à partir, ils allaient tenter l’excursion des dauphins.
Quelques semaines après mon retour je leur ai demandé s’ils avaient vu quelque chose et ils me répondirent que malgré la mer agitée ils en avaient vu tout plein et avaient même pu plonger avec (voilà encore une bonne raison de retourner peut-être un jour à Zanzibar).

Pour notre part, après un dernier regard sur l’océan, on parti en direction de StoneTown tranquillement.
On devait néanmoins trouver une station service car les quelques litres que Chinook avait fait ajouter à l’hôtel au prix fort ne seraient probablement pas suffisants.
Nous voici donc parti.
Si à l’aller on avait du s’arrêter à tous les barrages de police, ce jour là à aucun d’entre eux on ne souhaita nous contrôler.
Le chemin du retour fut plus aisé à trouver qu’à l’aller.
Lorsqu’on retrouva des véhicules doublant n’importe où, des vélos s’écartant sans prévenir et des piétons traversant sans rien regarder, pas de doute on arrivait bien à StoneTown.

Souvenez-vous c’était aujourd’hui que je devais récupérer mon téléphone portable que j’avais laissé par mégarde dans le véhicule de safari.
Comble de malchance pour moi, l’avion qui devait transporter les touristes apportant mon tél avait été repoussé de plusieurs heures pour un atterrissant prévu après notre décollage.
J’étais bien embêté, mais de toute façon je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même.
 
Comme on avait encore un peu de temps pour se promener, Chinook me proposa de m’amener au marché local.
Pour s’y rendre on repassa à pied dans les rues que j’avais traversées à plusieurs reprises lors de ma première visite de la ville.
Et le même chauffeur de taxi, quasiment au même endroit m’interpela à nouveau Grimaçant.
Il m’avait reconnu et cette fois me demanda si je comptais toujours marcher à pied.
On passa également devant le Fort Arabe que je n’avais pas remarqué auparavant (pourtant on peut difficilement le rater).

325. Le Fort Arabe
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« Répondre #87 le: 01 Décembre 2008 à 22:14:39 »

Le temps sur StoneTown se dégrada ensuite très vite et de gros nuages gris assez menaçants firent leur apparition.
La visite du marché fut finalement assez rapidement.
Je n’y ai personnellement trouvé aucun charme particulier.
Le marché aux poissons ne sentait pas spécialement la rose même si je m’attendais à une odeur bien plus nauséabonde et le reste était des plus classique à ce qu’on peut voir ailleurs.

Cette petite visite terminée on se dirigea vers le restaurant ‘Mercury’ donnant face à l’océan.
Sur le chemin quelques gouttes commencèrent à nous tomber dessus qui heureusement ne se transformèrent pas en grosse averse pour ne pas dire en déluge comme c’est souvent le cas sous ce type de climat.
Au niveau de la vue on était loin du lagon turquoise de la côte Est. A la place tout plein de bateau, pas toujours très beau, étaient encrés (ce n’était clairement pas le même charme).
Parmi tous ceux là, un attira tout de même mon attention. Il portait un bâche pare-soleil avec inscrit ‘Hakuna Matata’.

326.



On attendit une éternité avant de se faire servir (un peu comme bien trop souvent en France), à tel point qu’on voyait l’heure de notre vol retour avancer à grande vitesse.
On eu juste le temps de manger notre plat brulant avant de  partir rendre la voiture de location et se faire accompagner par le responsable à l’aéroport (un local francophone à Zanzibar, assez rare pour être noté).
Après nous être acquitté de notre taxe de départ (j’avoue avoir été un peu surpris sur le principe) il fallait faire enregistrer ses bagages et comme il n’y avait toujours pas d’électricité, tout se faisait manuellement et tout le monde devait ouvrir ses sacs pour la fouille.
Fouille qui si elle était pratiqué sur tous les sacs comme elle le fut sur le mien ne servait pas à grand-chose étant donnée qu’en dehors de la couche de vêtements du dessus ils n’avaient rien regardé d’autre.
Un peu plus loin il fallait encore se faire contrôler mais cette fois ci pour le bagage en cabine.
La personne m’accueilli avec un ‘mambo’ (=comment ça va (familier)) … je réfléchis un bref instant et je luis sorti ‘poa’ (=ça va bien (familier)). Et là tout de suite elle était toute souriante que je l’ai compris et lui ai répondu, bon je n’aurais pas su non plus lui dire autre chose Clin d'oeil.
De son coté Chinook fut moins bien tombé que moi et y perdit dans l’affaire un briquet qu’ils avaient décidé de confisquer (probablement pour eux  Tire la langue).

Le temps de faire un rapide tour des deux boutiques présentes dans l’aéroport et d’acheter quelques épices à offrir et nous voici dans l’avion.
Pas plus tôt arrivé à l’intérieur il commença à pleuvoir.
Pas de places cote à cote pour ce vol, on voyagea donc chacun de son coté.
Direction Dar-Es-Salaam pour la première escale (sans changement d’avion).
Je n’étais vraiment pas bien à ce moment là et vraiment épuisé.
Sur le vol Dar-Es-Salaam --> Addis Abeba je n’ai quasiment pas touché au plateau repas et ai passé mon temps à dormir.
J’ai juste entendu dire à un moment qu’on pouvait apercevoir au loin le Kilimandjaro (en plus c’était le soleil couchant), mais n’étant pas du bon coté de l’appareil je n’ai même pas eu le courage de me lever pour aller voir.
Arrivé à Addis, j’allais déjà un peu mieux enfin j’étais toujours malade mais un peu moins fatigué et je venais de prendre un comprimé.
On avait quelques heures à attendre avant notre prochain vol vers Bruxelles via Francfort.
Il fallait donc bien s’occuper et on fit alors le tour des boutiques détaxées avant de s’installer sur un banc.
Heureusement que Chinook faisait la conversation (vraiment désolé Chinook) car sinon il y aurait eu un gros silence (bon tout le monde sait bien aussi que les femmes sont plus bavardes que les hommes Roulement d'yeux).
Mais je me souviens quand même te tout ce que tu m’as dis à ce moment là (fatigué mais un minimum concentré tout de même  Tire la langue).
L’attente me paru tout de même bien longue et c’est avec soulagement que je me suis levé le moment venu pour l’embarquement.
Aussitôt en l’air on nous servi les plateaux repas que j’ai un peu mieux entamé que le précédent.
Et pour bien terminer ce beau séjour en Afrique Chinook avait pensé à prendre une petite bouteille d’Amarula (très très bonne initiative Yes Grimaçant).
On se prit donc chacun un verre à la fin du repas pour fêter ça.
S’en suivit un gros dodo pour moi jusqu’à Francfort (cette fois-ci je n’eu pas de difficulté à m’endormir dans l’avion), enfin un peu avant pour le petit-déjeuner.


Arrivée au dessus de Bruxelles, chose remarquable il faisait plutôt beau !
Après avoir découvert la Belgique sous la pluie (un temps normal donc  Roulement d'yeux) lors de mon départ, je la voyais maintenant sous le soleil.
Une fois atterrit on récupéra nos bagages et il fallait déjà se séparer Pleurs, les vacances en Afrique c’était bien terminé Non.

Un très très gros merci à Chinook pour m’avoir supporté pendant ces quelques jours et permis de redécouvrir le Kilimandjaro, les parcs d’Arusha et de Tarangire (à une autre saison que celle que je connaissais) et aussi cette magnifique rencontre des massais sans oublier la découverte de Zanzibar le tout avec le bel accent d’une guide belge Yes Souriant (d’ailleurs à la fin je ne le remarquais même plus).
Et merci aussi à vous tous d’avoir suivi ce carnet de voyage qui s’est un peu allongé sur la fin en raison d’un emploi du temps assez chargé actuellement.
Promis j’essaierais de faire mieux la prochaine fois.
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« Répondre #88 le: 01 Décembre 2008 à 22:15:59 »

De mon coté le voyage n’était pas encore tout à faire terminé.
Je devais prendre le TGV Thalis pour Paris gare du Nord à la gare de Bruxelles midi.
Jusqu’ici pas de problème, enfin sur le papier …
Je descendis donc au dernier niveau là où se trouve la gare de l’aéroport de Bruxelles.
Je m’insère dans la file d’attente pour prendre un billet de train.
Je me dirige ensuite vers l’écran à coté affichant sur quels quais arrivent les trains.
Et là gros problème, il n’affichait les informations qu’en flamant …
Ca me fait une belle jambe.
En temps normal les panneaux de ce type sont affichés en trois langues successivement (anglais, français et flamant) mais ici il restait comme bloqué sur le flamant.
Je vois bien ‘Brussel’ marqué sur plusieurs lignes mais accolé à d’autres mots qui me sont indéchiffrables.
Me revoici donc entrain de refaire la queue pour demander au guichet (fort heureusement il n’y avait qu’une personne devant moi).
On m’indique alors le bon numéro du quai.
Je descendis et en attendant que le train arrive je me mis à regarder le tableau des horaires et de composition du train.
Je constate alors qu’il y a trois gares à ‘Brussel’ mais je ne repère pas celle à laquelle je dois m’arrêter.
Je commence alors à m’inquiété un peu avant de voir une traduction minuscule en français.
Mais pas de ‘Bruxelles midi’ … heureusement j’ai rapidement fait le rapprochement Brussel Zuid = Bruxelles Sud (~Bruxelles midi).
Un fois dans le train j’ai tout de même demandé confirmation à la personne assise en face de moi.
A l’arrivée à la gare de ‘Brussel Zuid’, aucun panneau n’indiquait un autre nom dans cette partie de la gare.
Par contre du coté des grandes lignes de TGV c’est bien marqué ‘Bruxelle midi’ partout.
Décidément ce n’est pas toujours évident de se repérer.

Evidemment comme on prévoit toujours une marge de manœuvre en cas de retard du vol/train précédent et je me retrouve donc à attendre encore plusieurs heures.
Un peu déphasé je m’achète un sandwich alors que tout le monde prend son petit déjeuner et j’en profite pour sortir de la gare et voir à quoi ressemble la ville depuis l’entrée donnant face à une grande tour de verre avant de m’installer dans la salle d’attente de la sncf.

Arrivé à Paris le temps étati bien plus maussade qu’à Bruxelles.
Cette fois ci je devais encore attendre plusieurs heures avant de prendre mon vol pour Bastia à Orly (je continuais mes vacances en Corse où une partie de ma famille était déjà arrivé le matin par bateau).
Qu’allais-je bien pouvoir faire pendant tout ce temps ?
Quel dommage d’être à Paris et de ne rien en voir …
Je n’ai pas réfléchi trop longtemps et malgré mon mauvais état de santé et les sacs à trimballer j’ai eu un sursaut de motivation et j’ai pris des tickets de métro et faire mon gros touriste Rire.
Direction les Champs Elysées où je suis allé voir et photographier l’Arc de Triomphe puis me balader un peu, avant de m’arrêter pour déjeuner sur les champs … enfin au McDo Marteau.
Puis re métro pour le Trocadéro pour avoir une belle vue sur la Tour Effel où des couples de touristes étrangers me demande très régulièrement à ce que je les prenne en photo.
Je traine tellement que je finis par devoir courir avec tous mes sacs pour essayer d’arriver à temps pour mon prochain vol, d’autant plus que je ne sais pas très bien comment aller à Orly (heureusement sur le plan du métro est indiquée une station où l’on peut ensuite prendre une navette).
Mais gros coup de stresse car comme je n’avais plus de téléphone, si je ratais le vol, impossible de prévenir la famille.
Au final je suis arrivé vingt cinq minutes avant l’heure de décollage, vraiment juste à temps.
Vol Air Corsica via Air France où on est tout de suite immergé avec la distribution des journaux en corse ainsi que les instructions et informations du commandant de bord en corse également.

Deux jours après mon arrivé sur l’île de beauté et après une randonnée qui s’est terminé dans le froid et sous la pluie je resterais un jour complet allongé.
Heureusement mon état de santé s’est ensuite amélioré lentement mais surement au prix toutefois de forts restrictions alimentaires.


Concernant mon téléphone portable, Chinook s’était arrangée avec Donna (la responsable de l’agence de safari) et je le reçu par Fedex à mon retour avec en plus un pourboire probablement destiné à l’hôtel qui devait initialement le réceptionner pour moi à Zanzibar.
Je voulu alors dédommager Donna au moins pour les frais de port (surtout que Fedex ce n’est pas donné), mais elle refusa et me dit que la prochaine fois que je viendrai je n’aurais qu’à lui apporter une boite de chocolats belges …
Ah les femmes !!!! Grimaçant
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« Répondre #89 le: 02 Décembre 2008 à 01:22:06 »

Citation
Je voulu alors dédommager Donna au moins pour les frais de port (surtout que Fedex ce n’est pas donné), mais elle refusa et me dit que la prochaine fois que je viendrai je n’aurais qu’à lui apporter une boite de chocolats belges …
Ah les femmes !!!!

...te voilà donc obligé d'y retourner   Clin d'oeil
Il me semble aussi que Donna avait parlé de quelques heures de baby sitting de son adorable petit garçon  Grimaçant

Merci de m'avoir fait revivre ces très bons moments passsés en ta compagnie dans ce pays que j'aime de tout mon coeur et où je me sens tellement chez moi .
Ce séjour m'a semblé bien court et je n'ai qu'une pensée depuis notre retour ...y retourner bien vite .  Souriant

...en attendant j'ai le plaisir de le faire découvrir à d'autres
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Chinook
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